La séance d'ouverture du forum a vu la participation de jeunes socialistes, de personnalités parlementaires de différents horizons, ainsi que de membres du parti de l'Union socialiste des forces populaires

La 1ère édition du Forum international des jeunes parlementaires socialistes et sociaux-démocrates est officiellement lancée à Marrakech

PHOTO/ATALAYAR/GUILLERMO LÓPEZ - Foro Internacional de Jóvenes Parlamentarios Socialistas y Socialdemócratas en Marrakech, Marruecos
photo_camera PHOTO/ATALAYAR/GUILLERMO LÓPEZ - Forum international des jeunes parlementaires socialistes et sociaux-démocrates à Marrakech, Maroc

Les travaux de la première édition du Forum international des jeunes parlementaires socialistes et socio-démocrates viennent d'être lancés aujourd'hui à Marrakech. Ils se déroulent du 29 au 31 mai sous le thème "La contribution des jeunes parlementaires à la promotion de politiques publiques progressives et équitables".

Organisé en partenariat avec le réseau MENA-Latina, ce forum intervient dans un contexte marqué par de nombreux bouleversements à l'échelle mondiale, lesquels ont eu des répercussions sur tous les aspects géopolitiques, économiques, sociaux et environnementaux. 

La session d'ouverture du forum a été marquée par la présence de jeunes socialistes et de personnalités parlementaires issus de différents horizons, ainsi que des membres du Parti de l'Union socialiste des forces populaires. 

M. Driss Lachguar, secrétaire général du parti, a souligné que "la création de cette plateforme permettait aux dirigeants socialistes et socio-démocrates de mieux communiquer, mais aussi d'échanger différents points de vue et de développer des relations directes". Il a ajouté que "l'autonomisation des jeunes au sein des partis politiques était une nécessité incontournable pour pouvoir assurer la continuité et le renouvellement de tout projet à portée sociale. Cela passe certainement par la participation aux élections et la représentation des citoyens au niveau local et national, mais aussi par l'ouverture sur le monde et l'acquisition d'une expérience de premier ordre en matière de relations internationales".

De son côté, M. Abderrahim Chahid, président du parti socialiste a souligné que "le monde avait connu, au cours des quatre dernières années, des transformations profondes qui avaient commencé notamment à se manifester avec l'apparition de la pandémie mondiale. Il en est ressorti que le système mondial n'était pas à la hauteur pour pouvoir suffisamment faire face aux crises et aux défis imprévus. Nous avons tous vécu une crise sanitaire qui a révélé une crise plus profonde, celle de l'absence de solidarité entre les systèmes et la montée d'une compétition basée sur la survie des plus forts économiquement et des plus indépendants, à l'heure où la situation des systèmes et des communautés vulnérables continue à s'aggraver".

Il a également souligné que "la crise russo-ukrainienne était survenue alors que de nombreux pays luttaient encore pour tenter de se remettre des effets de la pandémie de COVID-19". Cette crise a d'ailleurs aggravé les taux d'inflation, augmentant de fait la souffrance des populations les plus vulnérables et accentuant la détérioration de la situation budgétaire dans la plupart des pays". 

Dans le cadre de la session sur le développement durable et la transition environnementale, M. Fernando José Rodríguez García, ministre de l'Environnement et du Changement climatique en Espagne, avait souligné l'importance de prendre des mesures concrètes pour pouvoir efficacement faire face aux défis environnementaux et promouvoir la durabilité dans tous les secteurs économiques et sociaux.

Les participants ont également discuté des actions nécessaires pour lutter contre le changement climatique, protéger la biodiversité et préserver les ressources naturelles. Ils ont mis en avant l'importance de la coopération internationale et de la mise en œuvre d'initiatives innovantes pour atteindre les objectifs de développement durable.

La quatrième session, quant à elle, avait porté autour de la thématique "Technologie, innovation et transformation numérique". Les intervenants avaient égrené les différents opportunités et les défis liés à l'utilisation des technologies numériques en vue de promouvoir le développement économique et social. Ils avaient alors mis l'accent sur la nécessité de garantir un accès équitable aux technologies de l'information et de la communication (TIC) et de promouvoir l'inclusion numérique.

Enfin, la cinquième session s'était concentrée sur le "Renforcement de la coopération internationale". Les participants à cette session avaient alors discuté des nombreux moyens permettant de renforcer la collaboration entre les pays, les organisations internationales et les acteurs non étatiques et ce dans le but de pouvoir faire face aux nouveaux défis mondiaux. Ils ont souligné l'importance de recourir à la diplomatie multilatérale et à une meilleure coordination des efforts pour parvenir à des solutions qui soient durables et efficaces.

Concernant la session sur le développement durable et la transition environnementale, M. Fernando José Rodríguez García, ministre de l'Environnement et du Changement climatique en Espagne, a souligné l'importance de prendre des mesures concrètes afin de faire face aux défis environnementaux et promouvoir la durabilité dans tous les secteurs économiques et sociaux.

Les participants ont également discuté des actions nécessaires en vue de lutter efficacement contre les changements climatiques, mais aussi de protéger la biodiversité et de préserver les ressources naturelles. Ils ont mis en avant l'importance de la coopération internationale et de la mise en œuvre d'initiatives innovantes permettany d'atteindre tous les objectifs de développement durable.

La quatrième session, quant à elle, a porté sur le thème "Technologie, innovation et transformation numérique". Les intervenants se sont épanchés sur les opportunités et les défis liés à l'utilisation des technologies numériques afin de promouvoir le développement économique et social. Ils ont en outre mis l'accent sur la nécessité de garantir l'accès équitable aux technologies de l'information et de la communication (TIC) et de promouvoir l'inclusion numérique.

Enfin, la cinquième session s'est concentrée sur le "Renforcement de la coopération internationale". Les participants y ont discuté des nombreux moyens permettant de renforcer la collaboration entre les pays, les organisations internationales et les acteurs non étatiques. Ils ont souligné l'importance de la diplomatie multilatérale et de la coordination des efforts pour parvenir à des solutions durables.

Dans l'ensemble, le sommet a été l'occasion de mettre en lumière les enjeux mondiaux majeurs et de promouvoir la coopération internationale en vue de trouver des solutions communes. Les discussions ont mis en évidence l'importance d'une approche globale et inclusive pour atteindre les objectifs de développement durable et construire un avenir meilleur pour tous.

Au-delà des sessions thématiques, le sommet a également été marqué par la présentation de projets novateurs et de bonnes pratiques dans différents domaines. Des entrepreneurs sociaux, des chercheurs et des représentants de la société civile y ont partagé leurs expériences et leurs initiatives visant à résoudre les problèmes socio-environnementaux.

Des engagements ont été pris par certains pays et organisations pour accélérer la transition vers un développement durable. Des accords ont été conclus pour promouvoir les énergies renouvelables, réduire les émissions de gaz à effet de serre, lutter contre la déforestation et favoriser la protection des écosystèmes marins.

Le sommet a également été l'occasion pour les pays de faire le point sur les progrès réalisés en matière de mise en œuvre des objectifs de développement durable définis par les Nations Unies en 2015. Des rapports nationaux y ont été présentés, mettant en évidence les réussites, les défis et les stratégies futures.

En conclusion, le sommet sur le développement durable et la transition environnementale a été une plateforme importante permettant de discuter des enjeux mondiaux liés à la durabilité et de favoriser la coopération internationale. Il a permis de mettre en lumière des initiatives inspirantes et de renforcer l'engagement des acteurs concernés pour un avenir plus durable et plus équitable. La poursuite de ces efforts collectifs est essentielle pour répondre aux défis actuels et assurer un avenir meilleur pour les générations futures. 

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