Atalayar fête un an d'analyse politique

2021 Bilan du leadership : Biden et Draghi, les meilleurs

Atalayar

Atalayar, le programme d'analyse internationale diffusé par Capital Radio, fête son premier anniversaire, pour la plus grande fierté de tous ceux qui le font. Il n'est pas habituel dans les médias de notre pays de trouver un espace qui ne recherche pas le bruit, la fureur, la confrontation et la polarisation, et dans lequel le seul objectif est une analyse honnête, rigoureuse et modérée des événements qui se déroulent à l'échelle mondiale. Bien sûr, avec le positionnement personnel de chaque professionnel qui y participe, il nous suffisait de demander la permission d'exprimer des opinions libres et indépendantes. Mais le miracle qui a donné naissance à un projet de communication dans les mois les plus durs de l'enfermement dû à la pandémie s'est maintenu au fil du temps pour nous porter sur nos ailes jusqu'au premier anniversaire de ce 4 mai où nous avons commencé, à dix heures cinq du soir, dans les studios centraux de Capital Radio au rond-point Rubén Darío à Madrid, avec les nerfs typiques d'une première. Aujourd'hui, Atalayar Radio est un programme consolidé, une référence pour les nouvelles internationales dans notre pays, où tous ceux qui ont quelque chose à dire dans ce domaine veulent se joindre aux voix qui sont déjà apparues au cours des douze mois de diffusion : des dirigeants politiques tels que Esteban González Pons, Luis Garicano, Juan Fernando López Aguilar, José Ramón Bauzá ou Soraya Rodríguez ; d'anciens ministres tels que García Margallo, Ramón Jáuregui, Eduardo Serra, Juan Costa ou Josep Piqué ; des personnalités de la scène internationale telles que Rebeca Grynspan, Moisés Naim, Jorge Dezcallar, Antonio Camuñas, Teresa Freixes ou Jurgen Donges ; des journalistes de la stature de José María Carrascal, Diego Carcedo, Miguel Ángel Idígoras ou Jacob Petrus ; et les dizaines d'analystes qui, chaque lundi, rendent possible l'examen de la réalité mondiale que nous offrons en direct et que nous laissons sur le net à travers des plateformes numériques.

Pour son premier anniversaire, Atalayar sur Capital Radio a réalisé le deuxième baromètre du leadership dans le monde, après celui qui, en décembre, a élu, avec les votes des collaborateurs du programme, Angela Merkel comme le meilleur leader de 2020 et Donald Trump comme le pire. Quatre mois plus tard, l'ancien président américain ayant disparu de la une, son successeur Joe Biden est le meilleur pour nos analystes... mais Mario Draghi, le Premier ministre italien qui dirige son pays depuis deux mois et demi avec des résultats extraordinaires jusqu'à présent, surtout dans le domaine économique, mais aussi en termes de pacification de la vie politique, se glisse avec le même nombre de voix. Tous deux sont, ex aequo, les meilleurs du premier trimestre de l'année. Parmi les personnes distinguées pour leur bon travail, Merkel apparaît à nouveau, bien qu'elle tombe en troisième position, et Isabel Díaz Ayuso (choisie par l'un des analystes du numérique) apparaît avec une voix, ainsi que le Canadien Justin Trudeau.

Du côté négatif, le départ de Trump est plus que couvert par Nicolás Maduro, distingué comme le pire dirigeant du monde, et de loin. Il a deux fois plus de voix que le deuxième, le Brésilien Bolsonaro, et dépasse de loin le troisième, Recep Tayyip Erdogan. La majorité des journalistes, diplomates et experts participant au vote estiment que le président vénézuélien, ancré au fauteuil malgré les irrégularités flagrantes qu'il a commises, est le dirigeant le plus regrettable de la planète aujourd'hui. Pedro Sánchez, qui n'était même pas proposé parmi les candidats possibles en raison de son manque de profil de leader dans le contexte mondial, a recueilli plusieurs votes dans cette catégorie. 

Et comme une curiosité qui démontre le pluralisme des voix qui composent l'équipe du programme, Vladimir Poutine a obtenu des votes dans les deux catégories, comme meilleur et pire dirigeant international. 

L'émission spéciale qui sera diffusée lundi prochain, le 3 mai, à 22 heures sur les radios de la capitale, fera le point sur ce sondage et offrira aux auditeurs le bilan semestriel des leaders mondiaux.