La Turquie d'Erdogan propose des solutions là où l'ONU a échoué

La République de Turquie, fondée au tournant du XXe siècle avec une guerre d’indépendance sans précédent, célèbre son 100e anniversaire.
La République a été fondée sur la souveraineté nationale à la suite de la guerre d'indépendance, qui a été gagnée grâce à la détermination et à la détermination de la nation.
Le fait que la Turquie ait survécu dans l'unité et la solidarité dans sa géographie immédiate, où l'instabilité et les conflits ont été durement ressentis au cours du siècle dernier, démontre la force et le potentiel du pays.
La République, qui renaît de ses cendres sous la direction de Ghazi Mustafa Kemal Atatürk, progresse régulièrement vers ses nobles objectifs, notamment l'essor, la renaissance et la construction de la nation et de l'État turcs conformément aux exigences de l'économie moderne.
L'objectif de modernisation de la Turquie implique une série de changements et de transformations politiques, économiques et juridiques. Depuis un siècle, il existe une volonté et un désir constants d’atteindre ces objectifs, malgré des tentatives occasionnelles d’interventions internes et externes pour les faire dérailler.
D'une part, le niveau des institutions et des normes démocratiques et juridiques a été élevé, tandis que d'autre part, des initiatives de développement économique et social ont été lancées.
Les mécanismes de tutelle, qui ont été mis en place de temps à autre pour empêcher la pleine manifestation de la souveraineté de la nation, ont également été surmontés par le peuple défendant sa volonté dans les urnes et dans la rue.
La réponse de la nation aux interventions visant à usurper sa volonté électorale à la première occasion, ainsi que la position adoptée le 15 juillet, ont été les indicateurs les plus importants de sa propre volonté.
S’appuyer sur la volonté du peuple est une condition nécessaire mais non suffisante pour établir une République moderne. En outre, la Turquie doit s’adapter à son époque en termes de normes économiques, juridiques et démocratiques.
Des élections justes et transparentes bénéficiant d'un soutien massif du public, organisées sous la supervision de hauts juges, sont un indicateur clé du niveau de démocratisation de la Turquie.
Au fil du temps, la participation démocratique et le respect de la volonté des urnes sont devenus plus profondément ancrés en Turquie.
D’autre part, au deuxième siècle de la République, outre la culture et les normes politiques et juridiques, nous devons construire une Turquie prospère, en particulier une Turquie qui a réalisé des investissements dans les infrastructures.
Sous la direction de notre président Recep Tayyip Erdoğan, les initiatives de la Turquie en matière d'infrastructures ces dernières années ont été les piliers d'une Turquie prospère.
Le résultat le plus important des investissements dans les infrastructures au niveau local est l’amélioration du bien-être social. D’un autre côté, grâce à ces investissements, la Turquie pourra bénéficier du potentiel de sa situation stratégique.
Dans un monde où les centres de commerce et de production internationaux, en particulier les chaînes d'approvisionnement, évoluent et se transforment rapidement, la situation géopolitique stratégique de la Turquie suscite de plus en plus d'intérêt du monde entier.
Une Turquie forte, dotée d’une infrastructure pleinement développée, aura une plus grande influence dans sa région. Grâce aux avancées réalisées ces dernières années, la Turquie est respectée dans l’équilibre international et remplit avec succès son rôle de meneur de jeu sur les questions régionales, en particulier au Moyen-Orient et dans le Caucase.
Dans le récent conflit israélo-palestinien, la position politique axée sur les solutions adoptée sous la direction du président Recep Tayyip Erdoğan, qui met l’accent sur l’aspect humanitaire de la question, en est une illustration.
Comme le démontrent clairement l’Ukraine, le Karabakh et d’autres questions régionales, alors que la République entre dans son deuxième siècle, la Turquie est devenue un pays meneur de jeu et leader dans sa région.
Les organismes internationaux tels que le Conseil de sécurité des Nations Unies se sont révélés incapables de résoudre les problèmes mondiaux et les ont même exacerbés.
Il est clair que les organisations internationales doivent être créées à la lumière du nouveau siècle et de la nouvelle ère, en tenant compte des nouveaux équilibres.
La Turquie se prépare à la nouvelle conjoncture internationale multidimensionnelle et multi-acteurs, conformément à la devise de notre président : « Le monde est plus grand que cinq ».
Afin de résoudre les problèmes mondiaux et régionaux, la Turquie utilise efficacement les voies humanitaires et diplomatiques ainsi que les instruments modernes d’interaction interétatique, tels que la diplomatie publique.
Professeur Fahrettin Altun. Le directeur des communications de Turquie