Le groupe Indra renouvelle la certification ISO 31000 pour la gestion des risques et étend sa portée à l'activité spatiale
Indra Group a renouvelé pour la sixième année consécutive la certification ISO 31000, délivrée par AENOR, qui reconnaît son engagement en faveur d'une culture de gestion des risques et sa volonté d'adopter les meilleures pratiques en matière de gouvernance d'entreprise, y compris la gestion des risques financiers et de durabilité liés à la performance environnementale, sociale et de gouvernance (ESG).
La certification ISO 31000 met en évidence la robustesse et l'efficacité du système de contrôle et de gestion des risques du groupe Indra, qui respecte les principes, les processus et les meilleures pratiques en la matière, intègre efficacement la gestion des risques dans les activités du groupe et, un an après son lancement, reste parfaitement aligné sur la stratégie de l'entreprise, telle qu'elle est définie dans son plan « Leading the Future ».
Ainsi, cette année, pour la première fois, l'activité Espace a été incluse parmi les lignes d'activité couvertes par la certification après la création d'Indra Space. Cette inclusion reflète l'expansion et la diversification des opérations de la société, ainsi que son engagement en faveur d'une gestion intégrale des risques dans tous ses domaines d'activité.
L'équipe d'audit a souligné comme points forts l'approche plus stratégique de la gestion des risques, en ce qui concerne le processus de fusions et acquisitions (M&A) et la gestion des risques de l'activité Défense dans le contexte actuel, marqué par la croissance du secteur. Cette approche a permis au groupe Indra d'anticiper et de gérer efficacement les risques associés à cette activité.
Un aspect particulièrement important par rapport au dernier audit est l'évolution du cadre de l'appétit pour le risque du groupe, qui définit le niveau de risque qu'une organisation est prête à accepter pour atteindre ses objectifs stratégiques. Ce cadre sert de guide clair et structuré pour la prise de décision et la gestion des risques au niveau de l'entreprise. Il renforce également l'alignement sur les meilleures pratiques recommandées par la CNMV, telles que reprises dans le Guide technique sur les commissions d'audit des entités d'intérêt public.
