El Banco Mundial califica a Marruecos como un actor comprometido

Le Maroc poursuit sa quête pour devenir l'une des principales puissances mondiales en relevant les défis liés à la durabilité et aux énergies renouvelables. Le gouvernement marocain est confronté à une série de défis qui se traduisent par de grands avantages pour l'économie nationale du Royaume. Sur le plan international, ils se rendent compte du grand potentiel de la nation nord-africaine. La Banque mondiale (BM) a considéré le royaume alaouite comme un acteur engagé et impliqué dans les agendas mondiaux et régionaux.
La Banque mondiale note que le Maroc "peut contribuer au développement d'une économie bleue (EB) durable et inclusive". Il s'agit d'une stratégie que la plupart des pays adoptent pour commencer à regrouper tous les secteurs liés aux activités économiques qui proviennent de la mer. Il s'agit notamment de la pêche, du tourisme côtier, du transport maritime, de l'élevage d'espèces, entre autres. Toutes ces mesures sont liées au développement durable et à l'obtention d'une énergie propre et sûre.

Ainsi, le Maroc s'associe à la Banque mondiale pour établir un partenariat conjoint qui s'efforcera d'accroître l'économie bleue. Cela se fera par le biais d'un programme de résultats (PRR) qui vise à renforcer le cadre institutionnel et financier du royaume alaouite pour le développement durable de la côte et de la mer marocaines. La BM assure que si l'approche de ce projet est spécifique, le pays du Maghreb parviendra à renforcer l'ensemble de son économie.
Le Maroc commence à tirer parti de cette économie. Parmi ses principales activités économiques figurent l'exploitation de la biodiversité marine et la production d'énergie durable à partir de l'eau de mer. Ils abordent également les défis technologiques auxquels le pays est confronté.

Le Royaume a commencé à prendre conscience de l'importance de l'exploitation de ces ressources naturelles, ainsi que des opportunités offertes par l'économie bleue pour la croissance économique. Cette approche a commencé à être adoptée à la suite de la mise en place du Nouveau modèle de développement (NMD) et du Programme de développement de l'économie bleue, l'évaluation des systèmes environnementaux et sociaux (ESES) étant incluse dans le premier.
C'est un plan impulsé par l'exécutif d'Aziz Akhannouch, ainsi que par toutes les personnes qui le composent, qui vise à accroître la capacité économique des Marocains et à renforcer leurs compétences. Il s'agit d'un projet qui n'a été mis en œuvre que récemment dans l'économie nationale et qui a pour mission d'atteindre tous ses objectifs d'ici 13 ans. Il est élaboré sur la base des attentes de la population marocaine. Le plan sera développé à travers le renforcement de sa stabilité économique, de ses relations extérieures et, en outre, l'amélioration de l'image de la nation aux yeux de ses partenaires internationaux et dans la recherche de nouveaux

À cela s'ajoute l'utilisation de sa position géostratégique pour attirer les investissements, car elle constitue la porte d'entrée des puissances sur le marché africain, ainsi que la possibilité pour elles de se rendre ailleurs et d'y investir. Il vise également à créer de grandes infrastructures pour attirer les entreprises et les entrepreneurs dans le Royaume.
La nation nord-africaine commence à développer l'économie bleue et, selon la Banque mondiale, le Maroc doit accélérer la mise en œuvre d'améliorations et de développements dans les régions côtières du pays. L'entité souligne qu'en agissant de la sorte, elle attirera des investissements dédiés à ce secteur qui pourront générer de la richesse, ainsi qu'un souci de préservation de l'écosystème marin et côtier. .

Le gouvernement marocain, pour sa part, a déjà annoncé un nouveau programme national qui visera à définir toutes ces activités marines dans le but de les protéger et d'obtenir davantage de ressources. Il a plusieurs objectifs centraux, comme le développement de l'emploi dans les zones pour commencer à faire croître cette économie bleue et aussi la protection des ressources environnementales. De même, il a été proposé aux entreprises de coopérer pour travailler sur l'innovation dans ce secteur de l'économie, qu'il s'agisse d'organisations publiques ou privées, d'industries, etc.