L'ayatollah Khamenei approuve officiellement la nomination du réformateur Pezeshkian à la présidence de l'Iran

Suite au résultat des élections qui se sont tenues au début du mois
En una imagen facilitada por la oficina del líder supremo iraní, el ayatolá Alí Jamenei, se ve a Jamenei (Centro) junto al presidente electo Masud Pezeshkian (3º dcha.), el presidente en funciones Mohammad Mokhber (4º izq.), el presidente del Parlamento iraní, Mohammad Bagher Ghalibaf (2º dcha.), y el presidente del Poder Judicial iraní, Mohsen Ejeie (dcha.), durante la ceremonia de investidura del nuevo presidente, en Teherán, el 28 de julio de 2024 – PHOTO/AFP PHOTO/KHAMENEI.IR
Sur cette photo fournie par le bureau du guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, ce dernier (au centre) est en compagnie du président élu Masud Pezeshkian (3e à droite), du président par intérim Mohammad Mokhber (4e à gauche), du président du Parlement iranien Mohammad Bagher Ghalibaf (2e à droite) et du président du pouvoir judiciaire iranien Mohsen Ejeie (à droite) lors de la cérémonie d'investiture. ), le président du Parlement iranien Mohammad Bagher Ghalibaf (2e à droite) et le président du pouvoir judiciaire iranien Mohsen Ejeie (à droite) lors de la cérémonie d'investiture du nouveau président à Téhéran le 28 juillet 2024 - PHOTO/AFP PHOTO/KHAMENEI.IR

Le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, a officiellement approuvé dimanche l'élection du réformateur Masud Pezeshkian en tant que neuvième président de la République islamique, à l'issue des élections qui se sont déroulées au début du mois.

« J'approuve l'élection de M. Pezeshkian, sage, honnête, populaire et érudit, et je le nomme président de la République islamique d'Iran », a-t-il déclaré, selon un message lu par le chef du bureau de M. Khamenei. Le nouveau dirigeant prêtera serment au parlement mardi.

M. Pezeshkian a obtenu plus de 16 millions de voix, dépassant de loin les 13 millions de voix de son adversaire, l'extrémiste islamique Saïd Khalili, favori du noyau dur du guide suprême.

Tout cela lors d'un second et dernier tour de scrutin, où la mobilisation a largement dépassé celle du premier tour, mais qui n'a même pas réussi à dépasser la moitié de l'électorat, avec un taux de participation de 49,8 %.