Gaza : entre l'abîme humanitaire et les griffes du terrorisme : une analyse géopolitique

Critiquer les actions du gouvernement Netanyahu n'est pas être anti-israélien, et encore moins antisémite. Tout n'est pas permis pour mettre fin à une menace terroriste
Palestinos caminan entre los escombros de los edificios destruidos durante la ofensiva israelí, en un día lluvioso, en medio de un alto el fuego entre Israel y Hamas, en la ciudad de Gaza el 6 de febrero de 2025 - REUTERS/ DAWOUD ABU ALKAS
Les Palestiniens marchent dans les décombres des bâtiments détruits pendant l'offensive israélienne, par une journée pluvieuse, au milieu d'un cessez-le-feu entre Israël et le Hamas, dans la ville de Gaza le 6 février 2025 - REUTERS/ DAWOUD ABU ALKAS

Gustavo de Arístegui, diplomate, ambassadeur et député du Parti populaire, a analysé dans La Razón le 25 mai 2025 que les critiques à l'égard de Benjamin Netanyahu ne sont pas toujours synonymes d'anti-israélisme ou d'antisémitisme, mais qu'elles remettent en question une crise humanitaire où tous les moyens ne sont pas bons.  

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Manifestación por la devolución de todos los rehenes retenidos en Gaza desde el mortal ataque del 7 de octubre de 2023 por parte de Hamas, antes de una reunión planificada entre el presidente de Estados Unidos, Donald Trump, y el primer ministro israelí, Benjamin Netanyahu, fuera de la oficina de la embajada de Estados Unidos en Tel Aviv, Israel, el 4 de febrero de 2025 - REUTERS/ RONEN ZVULUN
Manifestation pour le retour de tous les otages détenus à Gaza depuis l'attaque meurtrière du 7 octobre 2023 par le Hamas, avant une réunion prévue entre le président américain Donald Trump et le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu devant le bureau de l'ambassade américaine à Tel Aviv, Israël 4 février 2025 - REUTERS/ RONEN ZVULUN