La sociedad civil apoya al Gobierno ante la violación del estatuto diplomático del Consulado de Marruecos en Valencia

photo_camera Atalayar_ Sáhara Occidental

La réaction du gouvernement espagnol, dirigé par Pedro Sanchez, qui a condamné sans réserve l'agression subie par le consulat du Maroc à Valence, lorsque des personnes participant à une manifestation en faveur du Front Polisario, ont baissé le drapeau du Royaume du Maroc flottant au-dessus de la représentation diplomatique et ont hissé les insignes du Front Polisario à sa place, a eu des répercussions dans la société civile. 

Outre les protestations émanant des partis politiques et des associations, la société civile s'est également associée à la répudiation de l'acte de vandalisme qui remet en cause les principes fondamentaux des relations politiques et diplomatiques entre les États.

Le Club des Amis du Maroc en Espagne, a fermement condamné cet acte qui a tenté de violer "l'inviolabilité, l'intégrité et la dignité du siège consulaire, contrevenant ainsi gravement aux principes et valeurs de la Convention de Vienne", selon le communiqué publié à Madrid. 

Cette organisation de la société civile est composée d'une centaine d'intellectuels, d'universitaires, de professionnels, de journalistes, d'hommes d'affaires et de politiciens de tous les secteurs de la société espagnole. Présidé par le socialiste Pedro Bofill, il est né au Congrès des députés, en présence de l'ambassadeur du Maroc en Espagne de l'époque, Fadel Benyaich, et du conseiller politique Bugaleb el Attar, actuellement ambassadeur à Cuba. 

Le Club a exprimé son soutien à la réaction rapide du gouvernement espagnol qui, tout en défendant le droit constitutionnel à la manifestation pacifique, a fermement rejeté la violation du siège consulaire, et appelle à une clarification des faits et à l'adoption des mesures nécessaires pour garantir l'inviolabilité des missions diplomatiques accréditées en Espagne.  
 

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